Collectionne les cœurs mais ne les brise pas
Gare à toi respecte les nanas de leurs jolis minois
Au péril d’une vendetta tu périras.
A en perdre haleine tu cours après ces sirènes
Amoureux transi reste fidèle à cette épouse le jour
Combles la et honores cette maitresse de torrides nuits.
Ne fais pas comme moi…………..
Je ne jetterai point ton cœur aux flammes
Mais dans un récifal affable, d’une noyade sentimentale
Se délectant d’un met si frugal sous cette cascade d’opale
Je me ferais cannibale………………….
Dévorer cette nostalgie que renaisse la vie
D’un pas de chasteté fantasmer sur ton intimité
Avec diplomatie je reste soumis pour nier mon je suis.
Prisonnier d’un bonheur tant convoité,
Belle bouée pour éviter de sombrer
Mettre la lumière sur l’ombre hantée
Dans le reflet azur et agar de mon regard.
Ce que tu es………..
Douce mélancolie de l’espiègle
Farceur qui déjoue avec malice
Et pitreries de polichinelle, qui courtise
La belle colombine entre sièges et rêves.
Mon cœur est pris d’une autre tombe endolorie de ces petits ronrons
Dénie fécond qui m’interdit à juste prix de m’avouer t’aimer en réalité.
Un cocktail de sentiments sans alcool t’amenant dans un état d’ébriété
Me paralyse de peur……………….
Cette peur de te perdre me saisit alors que je ne t’ai pas encore conquis.
Tu caches ce que tu ressens, tu te caches la vérité
Feindre aux yeux pour te protéger, dévorer de cette jalousie
Quand tu perds l’unité du temps en toute sincérité
Une passion dissimulée, une concupiscence ensevelie
Que l’amitié perdure, ami d’un jour, amoureux pour toujours.